La même mésaventure que celle de l’article m’est arrivée : 38 heures pour paris/osaka au lieu de 12h. Ce fut en fait paris/sibérie/moscou/paris/osaka.
Je pense qu’aussi proche que soit la destination finale, il faut respecter la décision du commandant.
Car les mêmes qui se plaignent que Paris n’était pas si loin de Brest seront les mêmes à dire en cas de problème : « pourquoi a t-on dépassé le temps réglementaire »?